Les smartphones de la marque à la pomme ne manquent pas de faire la une des nouvelles, que ce soit en bien ou en mal. Tenant en titre des meilleures terminaux sur le marché, Apple n’est pas épargnée par les diverses plaintes des utilisateurs. Dernièrement, ce sont les bugs entrainés par la mise à jour d’iOS qui ont fait grogner les possesseurs d’iPhone. Et, actuellement au Canada, un utilisateur, possédant un iPhone 5, porte plainte contre la firme pour obsolescence programmée de leurs produits. Et, ce Montréalais projette d’opter pour une action collective contre la marque à la pomme par rapport à sa pratique qu’il accuse d’être trompeuse.

Une mise à jour qui cause le ralentissement de l’appareil
Simon St-Onge est un fan de la marque à la pomme possédant un iPhone 5. Et, d’après lui, après chaque mise à jour, il ne peut plus utiliser son smartphone de manière normale. Ainsi, dans le document qu’il a déposé au palais de juste de sa ville, il s’est plaint de la lenteur de son appareil. De même, il a relevé l’existence de bogues. Cet utilisateur en veut à la firme de Cupertino du fait que cette dernière ne prévient pas les utilisateurs de vielles versions d’iPhone par rapport aux dégâts causés par la mise à jour d’iOS 10 et 11. C’est surtout du côté de l’utilisation de son carnet d’adresses ainsi que de ses messages texte que Simon St-Onge a des difficultés après chaque mise à jour. Il accuse alors la marque à la pomme d’obsolescence programmée. Et, selon lui, la firme utilise ce concept afin de pousser les usagers à se procurer les dernières versions d’iPhone. Par ailleurs, M. St-Onge note qu’il est impossible de revenir à l’ancienne version d’iOS.Des demandes de recours collectif contre Apple
D’un point de vue juridique, l’obsolescence programmée existe bel et bien en tant que concept. D’ailleurs, la jurisprudence le concernant est nombreuse. Par rapport à son cas, Simon St-Onge dit vouloir avoir recours à une action collective afin de protéger tous les possesseurs de plus vieux iPhone. Ceci-dit, le cas de ce Montréalais n’est pas isolé. En effet, une action collective similaire à celle du Montréalais a déjà été déposée en fin 2015 contre Apple aux Etats-Unis. Les utilisateurs ont réclamé pas moins de cinq million de dollars à la firme. Pour le cas de Simont St-Onge, aucun montant pour le dédommagement monétaire n’a pas encore été avancé. Par ailleurs, il veut aussi que la firme de Cupertino rachète son smartphone et offre, à lui et aux autres personnes engagées dans l’action collective, une version plus récente d’iPhone.